Opinel
Cette entreprise familiale s’est donné comme mission de produire une collection composée de couteaux et outils de poche pour le bricolage, le sport, les activités de plein air, le jardinage et aussi des couteaux de cuisine et de table.
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Cette entreprise familiale s’est donné comme mission de produire une collection composée de couteaux et outils de poche pour le bricolage, le sport, les activités de plein air, le jardinage et aussi des couteaux de cuisine et de table.
Attiré par l’essor de l’or blanc du Limousin, David Haviland déménagea à Limoges en 1842 afin de créer sa manufacture de porcelaine nommée Haviland. La marque connait rapidement un succès fulgurant et est ensuite devenue une référence à travers le monde entier. Haviland a comme mission d’apporter une touche d’élégance dans votre intérieur.
Vous avez sûrement déjà vu ces couteaux ornés d’une abeille sur leur tranche : les couteaux Laguiole. L’histoire de ces couteaux remonte à la fin du XVIIIe siècle, lors de l’invention de la coutellerie, dans le village de Laguiole. À cette époque, il y avait plusieurs fabricants de couteaux, et chaque fabricant ornait ses couteaux d’un symbole différent, afin de reconnaître le coutelier qui l’avait fabriqué.
Didier Simond, un ancien collectionneur de couteaux vivant dans la vallée de Chamonix, s’est un jour rendu compte de l’absence de couteaux régionaux dans sa région. Il a donc eu l’idée de fabriquer en 2017 des couteaux d’une forme particulière : une forme qui représente le sommet du mont blanc, avec dessus la première ascension du Mont Blanc en pyrogravure.
Dans le monde de la coutellerie, aucun pays ne maîtrise autant l’art du couteau que la France. D’un point de vue technologique, il s’agit également de l’une des industries les plus sophistiquées et complexes en termes de production. En plus de nécessiter un travail manuel important, la fabrication de couteaux requiert un haut degré d’expertise technique ainsi que des outils et des machines très spécifiques. Et pourtant, malgré ses difficultés inhérentes, la France reste l’un des plus grands fabricants et exportateurs de coutellerie au monde. L’industrie de la coutellerie emploie plus de 10 000 personnes, avec des revenus annuels dépassant les 50 millions d’euros. Cet article donne un aperçu de l’industrie coutelière française et explique pourquoi les couteaux français se vendent aussi bien et avec autant de succès dans des circonstances difficiles.
Qu’est-ce que les couteaux français ont de plus que les autres ? Que vous soyez un fin gourmet ou bien que vous souhaitiez faire un cadeau honorable, vous devez absolument savoir quelles sont les raisons de choisir un couteau fabriqué en France. La qualité principale de votre couteau, réside au choix du métal utilisé pour sa fabrication, et dans la dureté de celui-ci. En effet, vous avez plus de chance de garder longtemps votre couteau si vous le choisissez en acier inoxydable. Cependant, en fonction de l’usage que vous aurez avec votre couteau, il est préférable de bien choisir sa dureté de métal correspondante, que vous ayez besoin d’un couteau d’office pour cuisiner ou bien d’un couteau de randonnée pour parer à de multiples situations, vous n’opterez pas pour la même lame. Ainsi, vous trouverez chez les fabricants français de couteaux, des duretés exprimées en degrés Rockwell C et abrégées en HRC. C’est-à-dire que plus la lame est souple, plus elle aura tendance à se déformer et nécessitera un aiguisage régulier. Au contraire, plus la lame sera dure, plus l’acier sera dur, plus l’entretien du fil du couteau sera fastidieux.
Le couteau est avant tout et à l’origine, une pièce unique et qui se transmet de génération en génération. Sa fabrication se doit donc d’être irréprochable, et son manche aussi. Les marques françaises ont choisi des essences de bois parfaitement adaptées aux nombreuses utilisations et lavages des couteaux. Aussi, le bois d’olivier, connu pour sa forte résistance, ou fait de noyer ou de ceps de vigne, sont parfaitement adaptés à l’humidité persistante. Ainsi, si vous souhaitez que vos petits-enfants possèdent les couteaux de leurs aïeux, la récurrence de l’entretien du couteau et la qualité de l’affûtage sont à considérer également.
Votre superbe couteau n’a plus le tranchant de ses débuts ? Il est temps de passer à l’affûtage. Seulement, vous avez encore en tête les mauvais souvenirs d’aiguisage de couteaux interminables et avec un résultat, soyons honnêtes, médiocre. Et s’il s’agissait tout simplement d’une mauvaise méthode ? Un aiguisage réussi réside dans l’utilisation des pierres à aiguiser, et seulement de pierres à aiguiser. En effet, les fusils et les aiguiseurs à guides sont à proscrire pour les débutants, car ils sont fabriqués avec des matériaux peu chers et ils endommagent le fil de la lame plus qu’ils ne l’aiguisent. Aussi, si vous tenez à votre couteau, et cette astuce est accessible à tous les débutants, il suffit de prendre une pierre à aiguiser pas trop tendre. Les marques françaises de couteaux vous en proposent sur leur site. Ensuite, afin de ne pas boucher les pores de la pierre avec la poussière liée à l’affûtage du couteau, vous utiliserez de l‘huile ou de l’eau, l’eau étant idéale pour le nettoyage d’après-affûtage. Sachez qu’il n’est pas nécessaire d’investir beaucoup d’argent dans une pierre à affûter, au-delà d’une dizaine d’euros, ce sont des pierres réservées à l’affûtage très régulier et aux lames dures. Le saviez-vous ? Un couteau ne se lave pas, en effet, lorsque l’on souhaite maximiser l’utilisation de la lame (et pour être honnêtes, l’aiguiser le moins souvent possible !), il est conseillé de laver le couteau avec un simple torchon humide.
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